eloge des femmes potelées

                       Je ne pouvais te rejoindre suite à une connexion des plus capricieuses. Ce soir encore je me résous à parcourir mes dossiers et mes fichiers. Je ne pourrais hélas te voir ni t’écrire. Je me suis remémoré une de nos discussions sur MSN et voila que je te revois devant la cam bien installée dans ta chaise. Souriante comme à l’accoutumée tu a arboré ce soir des dessous ?… non, je ne vois rien, tu es nue sous ta robe.  

                       Tu veux me surprendre encore.  Une de tes surprises qui me font toujours plaisir et tu le sais bien.

Sous la robe de chambre un corps gracieux se dessinait, imposant, majestueux.




                     

Je suis content de m’apercevoir que tu aimes de plus en plus ce corps que tu offres à ma vue. Je t’avais maintes fois répété que mon regard n’avait rien de malsain et tu disais : « je sais ».

 

Tu portas alors à la ceinture de la robe des mains grassouillettes et, doucement tu défis le noeud pour et tu t’avanças en souriant devant la cam pour me permettre de voir deux galbes de cette poitrine ô combien pulpeuse et douillette. Nous discutâmes jusqu’à une heure avancée de la nuit de tout, mais de bous surtout …

                     Nous pouvons ainsi rester à parler pendant des heures sans que l’on se rende compte du temps qui passe. Je me rends compte seulement que tu embellis de jour en jour.

 

 

Dim 18 mai 2008 Aucun commentaire