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Un jour, alors que je t’avais promis de revenir à l’heure pour bavarder un peu devant la cam que tu mettais pour me faire plaisir – tu le savais -  je t’avais dit en revenant deux heures après

Que j’avais été enlevé par des amis  pour faire une virée à la montagne, tu avais rigolé….

-         Lol , on t’a enlevé

-         Oui

-         D’habitude on n’enlève que les jeunes filles

-         Oui maintenant, même les hommes

-         Lol . Mais cette virée à la montagne t’a fait du bien

-         Oui, Je viens de descendre de la voiture, j’ai la tête qui tourne.

-         A cause des virages.

-         Oui .Mais j’ai été accusé à tort de vouloir séduire une femme

-         Si ça se sait, tu auras des ennuis c’est ça.

-         Non on ne croira pas . Il y a beaucoup de légendes qui circulent à mon propos.

-         Ils connaissent alors tes goûts pour les femmes rondes.

-         Oui , ils ne savent que ça de moi d’ailleurs . Il y en un parmi les copains qui m’a dit

-         «  si je t’invite un jour chez moi, tiens toi à l’écart de ma femme »

-         Il a dit ça pourquoi ?

-         Car sa femme est ronde. Il a peur que je la séduise. J’ai fait mine d’être un peu vexé.

      Mais c’est pour dissiper le doute qui plane sur moi.

-         Il fait déjà chaud même ici et je suis bras nus.

-         Hmmm , Je demande a voir alors si tu es bras nus.

                                  Tu mis alors la cam et tu apparus  en tunique violette , ravissante , souriante , heureuse .

J’étais aux anges. Je ne pouvais cacher mon admiration devant ce corps aux formes généreuses, ce corps, sans être gros comme celui de la copine, sans avoir de bourrelets débordait  de tendresse ; et toutes ces courbes sans être excessives ni suscitaient envies et fascination.

Cette fois c’est moi qui osais demander  qu’elle se mette en petite tenue.

« Attends » dit-elle.

Au bout d’un moment elle  parut dans toute sa splendeur, toute sa beauté. Elle était dans sa robe de chambre. Des dessous couleur chocolat soigneusement choisis rajoutaient à ce corps gracieux de femme amoureuse.

-         « J’aime ce corps » dis-je .

-         Oui je sais , mais moi moins .

-         Moi si je l’aime ce corps ………….

-         Un corps comme celui-la n’est pas a négliger.

-         Merci …..