Mardi 15 juillet
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Publié dans : rondes et douces
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Admirez cette poitrine de femme mure
Quoi de plus prometteur
C'est elle ?
Ou bien elle ?
Moi aussi je regrette vraiment de leur voiler le visage
Alllez encore une autre pour la route...
Mardi 15 juillet
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Publié dans : rondes et douces
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Voici celle qui m'accompagne depuis près de six mois. Elle m'est fidele. C'est elle qui m'écoute quand je suis bavard, qui me soutient quandj'ai un
bleu à l'âme, C'est elle qui me parle quand le ciel me tombe sur la tête . C'est elle qui me sourie quand je ne vois rien profiler a l'horizon
.
Je regrette de devoir cacher son visage . Elle est si belle pourtant . Son sourire dissipe tous mes
chagrins.
Dimanche 18 mai
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14:32
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Publié dans : rondes et douces
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Je ne pouvais te rejoindre suite à une
connexion des plus capricieuses. Ce soir encore je me résous à parcourir mes dossiers et mes fichiers. Je ne pourrais hélas te voir ni t’écrire. Je me suis remémoré une de nos discussions sur MSN
et voila que je te revois devant la cam bien installée dans ta chaise. Souriante comme à l’accoutumée tu a arboré ce soir des dessous ?… non, je ne vois rien, tu es nue sous ta robe.
Tu veux me surprendre
encore. Une de tes surprises qui me font toujours plaisir et tu le sais bien.
Sous la robe de chambre un corps gracieux se dessinait, imposant,
majestueux.
Je suis content de m’apercevoir que tu aimes de plus en plus ce corps que tu offres à ma vue. Je t’avais maintes fois répété que mon regard n’avait rien de malsain et tu disais : « je
sais ».
Tu portas alors à la ceinture de la robe des mains grassouillettes et,
doucement tu défis le noeud pour et tu t’avanças en souriant devant la cam pour me permettre de voir deux galbes de cette poitrine ô combien pulpeuse et douillette. Nous discutâmes jusqu’à une
heure avancée de la nuit de tout, mais de bous surtout …
Nous pouvons ainsi rester à parler pendant des
heures sans que l’on se rende compte du temps qui passe. Je me rends compte seulement que tu embellis de jour en jour.
Vendredi 16 mai
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14:18
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Publié dans : rondes et douces
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Je ne sais pas comment tu considères mon admiration pour toiJe suis sûr ne pas être le seul.
A l’instar de ceux qui estiment que la femme doit se réconcilier avec son corps je ne peux
penser cela sans citer Charles Baudelaire qui disait «Les polissons sont “amoureux”, mais les poètes sont
“idolâtres”.».
Je ne puis m’empêcher aussi de dire aux hommes.
« Ouvrons nos sens »
Alors soyons admiratifs devant ces corps potelés qui se
meuvent avec grâce. Si vous y voyez de la lenteur, ce n’est point de la lenteur : c’est de la réserve .Si vous voyez de la lourdeur ce n’est pas de la lourdeur : c’est le poids le la
chair pleine de désir et de bien-être. Si vous êtes mal lorsque vous voyez ces corps nonchalants tout frémissants alors c’est que vous êtes envieux.
Pour ma part, je suis rempli d’aise et de bonheur lorsque je
regarde ton corps plein de cette santé que seuls les amoureux des femmes potelées connaissent.
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